vendredi, août 31, 2007

Nuit du 29 au 30 août 2007.

Je sais pas pourquoi mais on a décidé de kidnapper un gosse avec Thomas G.
On le garde dans un gros 4X4 noir.
Une petite vielle passe à côté de la voiture (moi je suis à l'extérieur) et le gamin se met à gueuler. Par la fenêtre ouverte je passe mon bras et lui met la main sur la bouche pour étouffer ses cris. Ce con là il remonte la vitre électrique et m'écrase le bras.
S'en est trop.
On est repéré c'est sûr.
C'est Christopher Walken qui mène l'enquête.
Je dis à Thomas qu'il va falloir tuer le gosse et qu'on va s'en prendre pour 25 ans de prisons.
Mais finalement après l'avoir tué on paye juste une amende de 80€.
Ca me réveille.

mercredi, août 29, 2007

Nuit du 27 au 28 août 2007.

Grande maison de vacances spacieuse et agréable. Adeline S est là, elle a perdue ses jambes mais possède de très belles prothèses en osier tressé.
Je me fais avoir par une fausse Lan qui m'emmène dans une pièce minuscule avec un grand miroir. Je suis assis. Ils sont bien 6 autour de moi à rigoler quand je dis au reflet de Lan dans le miroir "Tu n'es pas Lan, pas vrai ?". Celui direct à ma droite chignole dans ma mâchoire avec une perceuse. Je sais que je rêve. Je leur dit "les gars, je me réveille, dans deux secondes vous êtes morts". Un petit effort, je me réveille. Je repars. Je suis dans la même pièce, les murs sont couverts de sangs, il n'y a plus personne.
Je rejoins Adeline S dans la grande maison. Les vagues sur la mer continuent de façon artificielle par d'énormes vagues de béton sur terre. C'est drôlement beau et tout lisse.

mardi, août 21, 2007

Nuit du 20 au 21 aout 2007.

Nuit du 20 au 21 août 2007.
La nuit est très agitée. Je n'arrive pas vraiment à m'endormir avant au moins 5h du matin. J'ai toujours les mêmes douleurs dans la nuque.Je me prépare une soupe de sang et là je me rend compte que je suis dans le lit, les yeux fermés. Lan marche pieds nus d'un pas lourd autour du lit, elle fait marteler ses talons sur les tommettes. J'ouvre les yeux pris d'une peur panique. Personne. Ou un fantôme.Je suis dans le lit, les yeux fermés, énervé par mon insomnie, j'arrive à attraper une araignée entre mes doigts. Je la fait rouler entre le pouce et l'index en faisant "friiiitch friiiitch" et je me dit qu'elle déguste autant que moi je me démange de sa piqûre. Et la je suis pris d'une peur panique, une paralysie, je parviens dans un sursaut à ouvrir les yeux. Rien entre les doigts.Un peu plus tard je m'envole sans aucun problème dans des paysages très réalistes, quand je décolle je fais gaffe à pas me prendre les lignes hautes tensions, puis quand je passe au milieu des nuages, beaucoup plus haut, à pas me prendre un avion de ligne. Je commence à faire un rêve lucide, je prends beaucoup de plaisir à voler à travers les villes, dans les campagnes, sur différentes hauteurs. Puis un moment j'atterris sur une terrasse et là des gars viennent me dire que "c'est interdit de voler en rêve maintenant". Je suis estomaqué. Ca me réveille enculés.Fin de la nuit, Sophie vend de la drogue en gélule, mais elle a vidé deux tiers du contenu des gélules pour économiser. Je me plains un peu, puis je lui dis qu'il faut vraiment qu'elle arrête la drogue. Elle devient toute verte et nous nous pleurons dans les bras.
Note: Cette nuit je l'ai passée dans l'appartement des soeurs Avram, deux jumelles que je soupçonne de sorcellerie et qui possèdent un chat vraiment étrange. Il ne ronronne jamais, se regarde souvent dans la glace et bois l'eau chaude de la douche. Je crois bien qu'il est bourré de fantômes cet appartement.

Nuit du 19 au 20 aout 2007.

Comme je bois plus beaucoup dans la vie réel, je suis souvent bourré dans les rêves.
Cette nuit là par exemple, je suis bien émmêché quand j'entreprends de tatouer la nuque de Sophie. Je lui fais 5 petits rectangles qui se suivent avec inscrit dedans le mot "pute". Quelqu'un lui dit ce que j'ai écrit, elle a alors ces mots : "Oh putain Dom, tu déconnes, merde, change des lettres". Du coup j'arrive à rattraper en "puitea". Mais j'en mène pas large. Je titube. Je regarde dans le frigo, il reste une cannette de bière de 50cl. On me dit que c'est à Rico, sur quoi je répond "bah il est au théâtre". Et par la fenêtre je vois la sortie du public d'un théâtre, Rico avec. Sans un mot j'ouvre la bière et l'avale d'un trait.

mardi, août 14, 2007

Nuit du 13 au 14 août

Inauguration du péage de Salon de Provence.
Avec Sarkozy et un millier de flics.
Juste là, mon camion ne braque plus, je manque de rentrer dans une rangée de CRS à bottes jaunes. Un gentil policier me fait circuler, je remarque du coin de l'oeil que Sarkozy ne fait en réalité qu'un mètre quarante.
Un peu plus tard, dans l'ancienne maison de mes parents nous mangeons une salade de tomates en famille en devisant sur le scandale qui anime les journaux télévisés du moment : Un jeune a été arrêté et "maltraité" par des policiers qui l'ont placé sous une porte de 340kg et sautés à pieds joints dessus. S'en ait suivi un traumatisme général du jeune homme. Il me semble que Alain Michel C, mon oncle, confond les choses et prend la défense du garçon. Pour ma part il me semble que les policiers ont agi de la meilleure façon qui soit. C'était un forcené et voilà.

D'ailleurs en voilà un autre de forcené, Rico, qui se met à tirer sur tout le monde depuis un immeuble avec une carabine. Et puis ça le fait rigoler. De la terrasse de la maison on assiste au déploiement des forces de l'ordre. Quelque instant plus tard Rico se fait descendre dans un râle par un sniper, et deux policiers des forces spéciales font irruption sur le balcon derrière lui. L'un d'entre eux menotte Rico (qui est mort) et l'autre (avec des bottes jaunes) se jette du 20ème étage. Au début j'ai un peu peur mais je comprends que les bottes jaunes c'est un truc gravitationnel... Mais ça marche avec un plan d'eau en dessous. Là il y a une piscine. Le flic frime en descendant tout doucement, presque en freinant dans l'air sur ses bottes.
Manque de pot il dévie du plan d'eau et fait une chute de 800m.

J'y crois pas, il se relève, ils sont vraiment super entraîné.

Je me réveille.

lundi, août 13, 2007

Nuit du 12 au 13 août 2007.

Je suis dans le hall du théâtre "Les Athévains" à Paris. Je vais rendre visite à mes employeurs d'antan.
Le nom de la pièce joué en ce moment c'est "Le mal que procure les choses". En montant vers les bureaux je vois Alexis M et Stratis V (avec lesquels j'ai déjà travaillé) qui me font un coucou amical, je me rend compte alors que c'est leur pièce qui joue en ce moment. Mon père cours devant moi pour aller un peu plus vite vers les bureaux. Avec Alexis on se fait signe qu'il est toctoc en le voyant se presser comme ça.
Tiens, ils ont changé la disposition des bureaux et on voit encore les traces des travaux, des cloisons déplacées.
Le premier bureau c'est celui de Dominique B, l’administratrice. Elle me touche le visage pour voir si j’ai grossis ou pas et semble contente, ses dents sont pourries. Je reconnais Sandra S (chargée de com) également dans le bureau et je demande si c’est bien elle. Oui c’est elle et je lui suce les tétons. Quand elle me tend son cul en écartant très fort son anus je décide qu’on en fait un peu trop et je suis étonné moi-même de renoncer à ces plaisirs.
Mais c’est que j’ai envie de voir François C, mon ancien directeur technique qui occupe le bureau du fond. Le couloir est de plus en plus étroit et quand j’arrive dans le bureau de François je le félicite pour son ingéniosité : Il a engagé plein de nains pour travailler dans l’administration et ça prend beaucoup moins de place. Je me réveille souriant.

samedi, août 11, 2007

Nuit du 10 au 11 août 2007

Je me réveille dans les vaps, dans le salon. Je suis à table, la tête contre le bois, courbé, avec une douleur intense dans la nuque. Il fait nuit, tout le monde est parti se coucher, j’ai du trop boire. Je me sens très mal à l’aise. Dehors les chiens aboient sans cesse et le vent souffle à décrocher les arbres. Je ferme les volets de la porte-fenêtre du salon. Je fais pas trop de bruit pour pas réveiller les parents. Je me sens mal. J’allume la lumière pour récupérer une bouteille de poppers, je veux pas laisser ça là.
Quand je monte dans ma chambre je me retrouve en plein cours de Viet Vu Dao, je suis groggy, je vais mal bordel. J’arrive pas bien à suivre le cours, Lan est mon partenaire mais n’arrête pas de me faire sentir ma nullité et mon manque d’investissement,. Du bout du pied je pousse un cendrier où j’ai mis ma clope et je cache ma bouteille de poppers entre deux tatamis posés à la verticale. Qu’est ce que je me sens mal.
Un ceinture noire annonce qu’on va faire « Kava », il dit que certain on se pouvoir sans le savoir et que c’est un bon moyen de le savoir. Je suis en retard à me mettre en position, ne la connaissant pas et me demandant à chaque instant ce que je fous là. J’ai envie d’abandonner. On se met à genoux, puis en position pour faire des pompes, mais mes couilles traînent par terre et un autre gradé marche dessus pour me faire sentir que ma position est mauvaise, j’ai envie de pleurer, il me harcèle, je dis que j’avais mal compris et que je croyais qu’il fallait prendre du « Kava Kava ». Le maître, Fred M me dit qu’il connaît cette racine et qu’il fume aussi des insectes lorsqu il en consomme, mais pour le coup c’est autre chose, on me presse de reprendre position, je sais pas ce qu’il faut faire, je panique, quelqu’un marche sur ma nuque et mes épaules, mais je résiste, mais on me dit de baisser la tête et je dis que ça va craquer et je pleure et finalement ça craque.
Je me réveille dans ma chambre. J’ai une haine profonde pour Lan endormie à mes côtés, et pour tout ceux que j’aime en général, comme si on m’avait abandonné. C’est un vrai cauchemar, ça faisait très longtemps que je n’en avait pas fait. Mon dos et mes muscles me lancent (je me suis blessé il y quelques jours et je n’ai pas encore vu d’ostéopathe) je me lève pour bouffer des biscuits au thé vert et je me souviens des lignes de Stelios avec effroi :

« Un jésuite,Eric De Rosny initié a Douala par les ngangas Camerounais a rapporté que selon la perception du monde bantou nous naissons avec quatre oeils,deux internes et deux externes.Le deux yeux du dedans sont fermés,ils ne s'ouvriront définitivement qu'a la mort,cependant certaines personnes naissent avec les yeux du dedans ouvert,ce qui en fait selon les circonstances soit des fous soit des initiés...Je pense que tes yeux du dedans sont partiellement ouvert,l'exubérance des formes créatives qui émanent de tes rêves,tes tableaux,ta musique en témoignent ».

Un peu plus tard, à nouveau endormi :

Je suis dans le salon, je viens de recevoir un courrier, une petite fiole de « Tokyo Coke » je sais que ça contient de la Metamfepramone, c’est un peu comme du « Tang » de cocaïne, faut le mettre dans l’eau et ça fait plein de coke. Mathias P et ma soeur sont là, il y a d’autres personnes, tout le monde baise et se branle sur des films dans des chambres, il y a des traces de sang menstruel sur le sol. Quand je regarde sur quels films ils se branlent je vois que c’est des « Achille Talon » et des « Natacha, hôtesse de l’air ».En face de la maison un petit train monte chez le voisin avec un tas de gens dedans puis un camion poubelle arrive et pousse le petit train dans un ravin, ça fait pas trop de bruit. Quand je vais sur les lieux du drame les gars des poubelles ramassent les morceaux pour faire disparaître toute traces de leurs méfaits.

jeudi, août 09, 2007

Insulte.

Une insulte très à la mode dans le monde des rêves : RRRRIIIII !!

mercredi, août 01, 2007

Rêves de juillet.

- Sous opium, un rêve très tendre. Je suis sur une moto sans guidon et je parle avec Nadia D qui est en voiture.
Je sais qu'à chaque fois que je parle avec elle je suis en terrain miné, sa sensibilité à fleur de peau fait que je suis toujours sur le point de la décevoir.
Je vois une fille sur le trottoir et dit à Nadia que je passe des soirées à parler avec elle.
Nadia se sent trahie parce que je ne passe plus jamais de soirée à parler avec elle. Elle démarre la voiture et s'enfuit dans les rues. J'essaye en vain de la suivre, mais sans guidon...
Le temps qu'elle gare sa voiture j'ai un peu de temps devant moi, je vais chez elle.
Je me sens en totale harmonie avec elle, malgré nos heurts.
Je trouve son lit au deuxième étage de la maison, tout est calme et familier. Je me décide à sentir ses draps pour sentir l'odeur de sa chatte.
Sur le lit il y a une console de jeux et un film avec Jane Birkin. La télé est allumée sur de la friture.

- Une nuit d'angoisse et de peur intense, aucun moyen de savoir si je rêve ou pas, le lieu ne change jamais, je suis dans mon lit, dans la cabane, j'essaye de dormir. De temps en temps il me semble me réveiller en sursaut, en criant. Quelquefois je décide de combattre les démons à l'extérieur en étant encore plus maléfique qu'eux. Les chats sont des démons. Je suis paralysé par la peur. Dans un coin de la cabane Lan me prépare un breuvage, du Curahuasca (un Ayahuasca pour guérir, on me dit ça quand je demande) mais son visage est épouvantable.

- Je suis au supermarché, je suis venu acheter du fromage. Un type me dit qu'il a mis son rhume dans tous les fromages. Je me dirige alors vers les alcools. Je fais tomber une caisse de vin en équilibre avec mon sac à dos. Devant l'employé mécontent je me propose de payer la moitié des dégâts, arguant que le supermarché fait assez de bénéfices comme ça. Il propose 100 Francs français. Ca semble rien du tout, du coup l'atmosphère se détend et je lui dis qu'il me reste bien un Pascal à la maison. On rigole. On devient potes. Je suis invité à manger avec d'autres employés (en fait des étudiants) dans l'arrière cour du supermarché. Là ils récoltent eux mêmes leurs coquillages en raclant de grandes étendues de boue. La table est dressée dehors, au soleil. On échange des banalités sur la vie de couple.
Un peu plus tard le tour de France passe devant la maison. Lan se décide à dévaler la pente avec Marion J à la rencontre des coureurs, j'ai beau prévenir que c'est dangereux, elles s'élancent. Je cours après. Dans un tournant en pleine vitesse elle manque de se prendre les voitures qui ouvrent le cortège. Je prends le pouls de Lan pour constater qu'elle a eu très peur.