mardi, avril 18, 2006

Nuit du 16 au 17 avril 2006

C'est pas tous les jours comme ça.

Je suis avec un leader religieux israélien.
On lui retire sa colonie.
Il renvoie tous les colons de manière pacifique avec une grande feuille de bananier dans les mains. Là je suis avec eux, j'ai ma feuille de bananier, je suis de très près le leader et comme on marche sur la route de nuit et qu'il n'y a pas d'éclairage public je me dis : "Ah bah, ils dépensent tout dans la guerre !"

Plus tard nous sommes chez un barbier palestinien. Ce sont des enfants qui doivent raser le leader israélien. Il reprend plusieurs fois leurs gestes après s'être fait couper. Là il retire un cheveux d'une vielle femme couchée près de lui et il dit "En Allemagne ils ne faisaient pas attention comme ça !".
Il pouffe.
Puis il me fait remarquer une grosse bulle de sang noir sur mon épaule. Je lui dis "Ah bah, ça c'est infecté"

Juste à ce moment là je me rends compte que le leader israélien, et ben en fait, c'est Charlie Chaplin.


Plus tôt dans la nuit j'étais à l'Embobineuse. Grosse fête, gros rêve incroyable. Je note tout. Je me réveille après et j'ai encore rêvé que je notais.
Plus rien, je me maudis.


Un peu plus tard je joue sur la guitare de Christophe R. Je joue une mélodie sur les accords Dbm et Gm.
Christophe fait un concert pour les vieux dans un jardin public et il doit lutter avec la Lambada issue d'un bar proche.

Pour rigoler je me déguise en Cormolio.

samedi, avril 08, 2006

Nuit du 7 au 8 avril 2006

Nous sommes partis pour une grosse fête dans un grand bâtiment au milieu d'un très grand terrain vague.
C'est bizarre mais le bâtiment, il me semble bien reconnaître Notre Dame de Paris.
Ok on est rentré, il y a tout le gratin.
Des chenilles géantes de carnaval rentrent par les grandes portes de la cathédrale, tout est très coloré, il y a foule.

Plus tard, dans les rues de Bruxelles, je suis avec Thomas G sur un vélo que je conduis avec ma bite.
Un SDF roux nous remarque et nous singe.
Puis il nous court après et manque de nous faire tomber.
Avec Thomas on lui casse la gueule.

mercredi, avril 05, 2006

Une nuit de mars oubliée.

Un escalier avec un ascenseur au centre. L'escalier s'enroule autour de l'ascenseur. Il y a des visages :
- Sans yeux.
- Yeux Fixes.
- Visage en papier.
- Visage déformé.
- Visage désassemblé.

Des gens montent les escaliers pour aller travailler, puis ce sont des morts.

A la fin de ce truc d'escalier, je les dévale, je suis poursuivi. Par les morts, les visages, tout ça.


Plus tard:

Nous sommes en plein "massacre à la tronçonneuse". Dans la maison.
Au départ je suis avec Rico et Sophie, nous enquêtons. Mais pris par surprise nous nous faisons tuer.
C'est pas grave, on y retourne.
Dehors il y a la peau d'un chien qu'on appelle "Charogne". C'est lui le fantôme qui déclenche tous les meurtres.
La maison comprend un tas de pièce plus sales et morbides les unes que les autres.
Tout est effrayant. Junior est là. On entend bien le "pout pout" de la tronçonneuse venir d'une salle adjacente.
A la fin je finis par comprendre qu'une femme flic est menacée, je le lis dans la pluie sur le sol.
Je me rends chez elle avec d'autres flics pour la prévenir.
Le type au couteau est déjà là, derrière une porte. Il est rentré avec nous.

Nuit du 4 au 5 avril 2006.

Cette nuit je joue dans un spectacle sur la scène du théâtre Gyptis à Marseille.
Je sors avec Camille. Sa langue est fourchue, c'est pour ça qu'elle fait des bruits bizarres.

Le décor a soudain disparu et il faut qu'on joue avec juste quelques meubles. Ma mère m'interpelle depuis le public, me réprimande. C'est assez gênant.

Un peu plus tard quelqu'un actionne les gradins automatiques alors que des gens sont assis.
L'un des plateaux vient empaler très doucement une dame assise au mauvais endroit. On voit la patte en ferraille avancer vers son torse mais on ne peut plus rien faire, on lui dis de ne pas avoir peur, de se calmer, c'est tout hydraulique, on peut rien faire. La patte s'enfonce avec un bruit de succion, elle s'évanouie quand ça ressort de l'autre côté. Je fonce dans le hall et vers la salle des machines pour faire arrêter le massacre. J'y trouve Claude A qui opère le gradin. Je le mets au courant. Il panique. Il vient de tuer quelqu'un. Ca se comprend.
Je me réveille.