dimanche, août 31, 2008

Nuit du 30 au 31 août 2008.

J’ai passé un bon moment dans les souvenirs de quand j'étais jeune et plein d'entrain. A Montreuil, avec MC Relou. Je suis sur le haillon d'un camion, je joue de la guitare, énergique. Je me trouve beau. Je regarde ces souvenirs de loin sur une vidéo 8mm. Il me semble que le vieux avec ses lèvres bleuies gercées et ses croûtes sur le visage c'est le père de Seb. Je lui demande pourquoi à 20 ans j'avais moins d'énergie qu'à 10 ans et à 30 ans encore moins d'énergie ? Il me répond "Parce que tu ne le mérites pas".
Va te faire enculer tiens (là c'est ce que je me dis maintenant au réveil).

J'essaye de me tatouer ou de me piquer la bite. Ma bite violette dans son garrot. Ca ressemble plutôt à une injection de drogue qu'à un tatouage. Avec deux mains je peux pas me prendre en photo. J'ai mon Lomo, il fait Fish Eye, c'est cool. D'une main je me fais l'injection dans la bite et de l'autre la photo avec le Lomo (un modèle Holga).

Un peu plus tard je remplis un trou sur une pente avec des gravas. Mais quand j'ai plus de gravas j'utilise des bus et des autocars. Avec les gens dedans. Je m'en fous. Tous au trou ! Allez !

samedi, août 30, 2008

Nuit du 29 au 30 août 2008.

Le problème avec ce rêve c'est sa trop grande ressemblance avec la réalité. Les gens ressemblent en tous points aux gens. Leurs chiens sont leurs chiens.

Je suis un peu genre en croisière. Je recherche « Hennings le chien » dans le chenil du paquebot (plus tard dans le rêve quelqu’un me dit que je recherche en fait Higgins et que je suis fan de Magnum. Je ne prêterai que très peu d’attention à cette remarque). Je sais pas trop à qui appartient ce chien mais dans le chenil je croise Yoda (le chien de Mathias P) qui ressemble bien à Yoda et Shogun (le chien de Sophie V) lui aussi identique à son double réel.
Il y a aussi un tas de valises étiquetée où se trouvent les chiens qui n'ont pas supportés la traversée (ils sont morts). Sur les étiquettes on peut lire des indications comme : "Pour compost" ou "Retour au maître pour inhumation".

Je partage ma cabine avec Christophe R et Anaïs C. Je crois que je traîne un peu trop à vouloir faire la fête et lorsque je reviens dans la cabine Anaïs dort. Christophe propose de regarder un film en VCR et on se dit tous les trois "C'est bien ce qu'il nous reste de mieux à faire". Et puis je leur dis que j'ai arrêté la drogue mais que je bois encore du thé vert. Roger R se trouve derrière la porte, Anaïs refuse de le faire entrer dans la cabine.

Et puis on découvre un truc mieux que Myspace ou Facebook. Ca s'appelle Magic. Ca permet de suivre la vie de qui on veut en direct, tout de suite là. N'importe qui. C'est ça, C'est Magic.
Je remonte de la cabine pour retrouver Elodie L qui m'accueille de manière très confortable entre ses cuisses avec un sourire de paix. Elle me dit que tant que je n'aurai pas résolu un problème d'enfance lié au Colonel, je n'avancerai plus. Je me demande bien qui est ce fameux colonel.

A la fin du rêve je baise Laureen L comme j'aurais voulu la baiser dans la réalité, furieusement. Son maquillage coule, tellement je m'enfonce dans sa bouche et je lui pince le nez et sa bave coule de ses commissures et je l'encule si facilement, dans une position si souple.
Que c'est bon bordel de nom de Dieu.

jeudi, août 28, 2008

Nuit du 27 au 28 août.

Adam T s'appelle en réalité Arnaud Sourcils. Je le suis dans la visite d'une superbe librairie.
Je cherche Cendrars de salle en salle. Je suis pas con, je cherche dans les C.
Mais là je tombe sur une entrée secrète, une cavité sous les rayonnages qui ouvre sur un puit immense, argenté.
A mesure que je descend l'échelle métallique vers le fond du puit je me rend compte que c'est un immense broyeur et que je suis moi même le héros d'un livre pour enfants. Un livre d'aventure.
Le broyeur se met en marche, les mécanismes s'activent dans d’épouvantables grincements. Mon héros meurt écrasé dans une fournaise de métal en fusion et les pages de son livre se couvrent de mots de plus en plus gros, bientôt chaque mot remplis une page et ce mot c'est "HONTE".

Peu après j'évite une voiture qui fait un créneau. J'en perds mon plug anal. Il tombe dans le caniveau. C'est pas grave je vais le laver.
Mais merde quel maladroit ! Je fais tomber par terre toute mon écorce d'Iboga juste avant de me réveiller.

jeudi, août 14, 2008

Nuit du 13 au 14 aout 2008.

Les enfants sont assez étonnés que je découpe du mobilier urbain avec mon épée laser. Ils m'ont montrés la leur, même essayé de me faire un peu peur, mais ce machin en plastique ne fait pas le poids. Plus tard c'est la même épée que je vais empoigner pour aller tuer la fille.

Un peu avant je suis dans un lit avec des lesbiennes, ça commence bien.
Et puis un appel à l'aide. Une fille coincée dans un entrepôt. La fille est là bas, se cache apeurée. L'appel est intercepté par un journaliste, un officier de police et moi, le bourreau.

C'est drôle, quelle tête elle va faire quand elle va se rendre compte qu'il n'y a aucune issue, aucun espoir...
Le truc c'est que je vais rentrer en premier, l'effrayer comme jamais, puis viendront le journaliste et le policier et ils feront semblant de la sauver et finalement on la découpera à trois avec nos épées lorsqu'elle se sera rendu compte de l'effroyable traitrise.

Mais je me réveille en arrivant à l'entrepôt, je rate la suite.

lundi, août 11, 2008

Nuit du 10 au 11 août 2008.

Je travaille dans cette petite entreprise depuis un bout de temps puisque je me sens si bien avec les autres employées et même c'est mon anniversaire et on m'offre des formes molles en silicone, des trucs à modeler. Mais le train s'arrête c'est ma station et il faut que je sorte de là, avec mes poupées translucides, mais j'aurai jamais le temps avec tout cet encombrement des couloirs merde.