jeudi, août 31, 2006

Nuit du 30 au 31 août

Trois petits rêves rigolos :


- Je me réveille dans ma cabane, je suis sur un lit superposé. En bas il y a Thomas G, mais il a le visage de Lan (en fripé) et prétend s'appeler Kaiji Hano.

- A paris, autour de Beaubourg, dans un restaurant. Je suis avec Christophe D, ça fait longtemps que je ne l’ai pas vu. Le serveur en a tellement marre d'attendre notre commande qu'il s'assoie avec nous et mange un de nos Hot Dog.

- Je suis dans la chambre de Magali H. Elle est nue, en bas et porte jarretelles, sur son lit.
Je m'allonge à côté d'elle. Elle me regarde, son visage est très doux, elle me dit en parlant de Seb : "Je ne sais plus comment faire avec lui".
Je réponds "Il est mort, après la mort il n'y a rien, c'est fini".
Elle me je sourit la serre dans mes bras.

Nuit du 29 au 30 août 2006

Ce soir on est avec une fille que je connais pas et un autre type (noir) dans le magasin de ma sœur. Mon père nous a prêté des costumes de policiers municipaux et nous les enfilons.
Rico est là aussi, en flic, pareil, mais il fume un joint le con.
Là se pointe des vrais flics municipaux et ils sentent le joint.
Rico, qu’est pas bête, se change vite en civil. Et nous les autres de nous faire embarquer dans nos faux costumes de flics.
(Plus tard je savoure ma vengeance en détruisant le visage du plus vieux des flics sur le pavé, j’écrabouille tout à coups de poings mais je vois tout de même ses yeux s’embuer de larmes et je suis même un instant à sa place, je vois trouble, mon visage est en sang, je ne reverrais jamais mon petit et ma femme que j’aime tant.)
Sur un des ordis du magasin, un fond d’écran. On y voit des koalas en enfilade se faisant rouler dessus et assommer par une grosse pierre. A la fin de l’animation la grosse pierre repars au début.

mardi, août 29, 2006

Nuit du 28 au 29 août 2006

Hé ben voila, on arrête la drogue et du coup on fait plein de rêves rigolos.

Cette nuit je regarde le premier homme qui marche sur la lune à la télé. C'est en noir et blanc, c'est Armstrong et Aldrin, ok.
Juste, le truc qui est rigolo, c'est que juste avant de poser le pied sur la lune, il y a Armstrong qui se tient fort à l'échelle du module lunaire, en porte à faux, et hop ! Il fait basculer l'engin et se fait écrabouiller en dessous. Ca devient le premier homme écrabouillé sur la lune. J'ai bien rigolé.

Bon après c'était un peu plus éprouvant, un peu plus aventureux on va dire, avec Christophe R on découvre une grotte. Dans la grotte un tas de trucs d'Egyptiens, mais surtout des tas de pièges et voila Christophe qui se fait découper de partout par des lames sur des rails un peu partout.

Avant de me réveiller, je vois Seb.
Comme d'hab il fait la gueule, mais il a un petit sourire tout de même. On est dans sa famille il me semble, il y a Mag et des bébés.
C'est un jour de deuil. Lui il est là en robe de chambre, il ricane. Je vois un de ses bébés, Marie, qui se ballade sur le bord d'une fenêtre. Je me dis qu'il va faire quelque chose, mais non, le bébé tombe de plusieurs étages. Il prend un air un peu désolé en ricanant.
Au début je suis un peu horrifié, puis finalement je rigole avec lui.


lundi, août 28, 2006

Nuit du 27 au 28 Août.

Je bosse dans un vidéoclub. En fait c’est plutôt une salle de ciné parce qu’il y a bien quelques centaines de personnes qui regardent un film là.
Un film de Loup Garou.
Le propriétaire c’est un vieux pas du tout cinéphile qui comprend rien à rien. Je suis un peu technicien. Comme dans la bande son on entend en permanence un buzz 50 hertz (ce qui est très désagréable) je refais les branchements.
Après il y a plus rien qui marche.

Pas grave, je croise les sœurs Avram et je leur dis qu’elles peuvent venir chercher leur double de clefs au fond de mon cul.

Quelques temps après je suis sur une grande base sportive avec un tas d’activités. Déjà, il y a du dirigeable. Des petits dirigeables deux personnes, un peu comme les petits catamarans hobbycat. La monitrice nous explique le fonctionnement, c’est pas très compliqué, il y a un bouton pour allez à gauche, un pour la droite, un pour aller en haut et un pour aller en bas.
Et puis il y a un gros champignon au milieu, c’est pour arrêter toutes les machines, le dirigeable s’écrase au sol.
En cas de danger.

Le petit tour est super, la ville que nous traversons est comme une cathédrale géante, nous passons sous des arches gigantesques, tout est très finement sculptés.

En traversant le parterre je remarque un autre sport « extrême » intriguant : Des jeunes se jettent du haut d’un mur d’église de plus de 70m (avec des protections aux coudes et aux genoux) et s’écrasent comme des merdes dans des bacs à sable avec un peu d’eau. Ca fait carrément un sale bruit et ils se relèvent pas du tout, à peine ils regardent un peu le prochain qui va leur tomber dessus. Je me dis « ça doit faire un peu mal ».

Nuit du 26 au 27 août 2006

Nuit d’une rare violence.

Je suis une sorte de super soldat dans une armée occidentale.
On me lâche avec d’autres camarades dans des territoires du Moyen Orient.
Je fais des milliers de morts civils juste en courrant parmi eux et en lâchant des tas de projectiles mortels autour de moi.

Plus tard, les survivants de notre armée se trouvent quelque part en Sibérie, nous sommes blessés, l’armée est en déroute.
Mais surtout, l’ennemi lâche depuis les cieux embrumés d’immenses statues de bronze (de plusieurs kilomètres de long). Les statues sont horizontales, le buste tourné vers le sol, le visage impavide, les bras le long du corps. Lorsqu’elles rentrent dans l’atmosphère, leurs faces visibles s’embrasent et le spectacle est d’une beauté absolue, on ne peux pas s’empêcher de regarder ces colosses tomber, rougeoyant dans le bleu du ciel et s’écrasant sur la steppe.
Roger R est là, il me dit que c’est de cette façon que l’Assaï crée une « parade économique ».
On s’enfuit en luge avec des débris de maison.

Nuit du 24 au 25 août 2006.

Cette nuit je mate des films.

Je voie d'abord "Spirotone" 1 et 2.
La particularité de ces films c'est que tous les objets usuels sont remplacés par des poulpes. Je me souviens d'une scène où les poulpes remplacent couteaux et fourchettes à un repas. Une autre scène on voit un mec qui se coiffe avec un poulpe.

Ensuite je voie "le masque de la poupée 2" de Dario Argento. Le truc qu'est horrible c'est que c'est pas un masque en fait, la meuf c'est vraiment sa gueule et ça fait grave flipper.

Ensuite j'ai vu King Kong, mais comme il n'y avait plus de budget pour la fin, ils l'ont fini en dessin animé. On voit King Kong redescendre de l'Empire State Building et bouffer un tas de gens, comme ça, par poignées, puis, grâce aux images de synthèse, il se transforme en bite à deux têtes.

Vers la fin du rêve je suis dans le bureau du Diable. On a rendez vous, il va bientôt arriver.

mercredi, août 23, 2006

Nuit du 21 au 22 août.

Je suis engagé pour faire la lumière pour l'ensemble inter contemporain de percussion "Semblema ». Ca va jouer en première partie de Henry Salvador sur une plage de Nice.
Il y a un tas d’effets spéciaux à déclencher.
Je prends Rico comme assistant. Et c’est Wolfgang A qui m’a engagé.
C’est con, dans le train nous perdons la moitié du matos.
Pendant le spectacle Rico s’endort tout le temps et le chef d’orchestre s’électrocute avec un branchement que j’ai fait.
A la fin du rêve j’en mène pas large.

Vers le 15 août.

Cette nuit je découvre que Greg R tue des femmes et les dévore. Mais en plus de ça il veut me faire porter le chapeau.
On a rendez vous dans sa dernière chambre d’hôtel.
J’emmène du poppers et des films de cul, histoire d’avoir un truc à faire.
Je trouve une bd au crayon qu’il a dessiné lui-même et où il raconte la violence et la cruauté avec laquelle il a tué toutes ces femmes.

Nous sommes finalement enfermés tous les deux dans une grande salle avec des tatamis au sol et avec les cadavres enveloppés alignés sur le sol. On attend la police pour s’expliquer. Lui dit que c’est moi, mais j’ai des preuves que non, c’est lui.
Sabine R arrive à ce moment là et Greg R tente de lui dévorer le pied. Hop, une prise de Viet Vu Dao et j’envoie Greg balader.
Peu après nous partons en 4x4 sous la tempête dans la neige, nous montons un col. J’aperçois le Sasquash Terry que je prends en photo, puis la voiture verse et on se trouve coincé dans la neige. Par chance c’est en haut d’un télésiège. Les techniciens viennent nous aider, on est saufs. Cool.