mardi, janvier 30, 2007

Nuit du 29 au 30 janvier 2007

Cette nuit je me fais beaucoup sucer.
Par un tas de filles.
A un moment il me semble reconnaitre Alexandre L avec son petit perfecto. Il ressemble à Jean Pierre Chevènement jeune.
Le matin je me réveille avec en tête l'air de "La Bamba".

lundi, janvier 29, 2007

Nuit du 28 au 29 janvier 2007

Cette nuit je fais du ski avec des petits lutins.
On descend des glaciers et avec l'élan on en remonte d'autres.
A la fin je me rends compte que c'est pas des lutins mais des enfants.

Plus tard je me retrouve au poste de garde de la caserne Champerret. Il y a une fille qui me fait un peu de l'oeil, elle est pas très jolie et elle a une bouche bizarre.
Elle m'emmène dans une salle attenante et nous nous couchons dans un lit. Elle m'embrasse. C'est assez effroyable, dans sa bouche il y a un morceau de viande froide.
Peu après un grand noir débarque très en colère parce qu'on est dans son lit. Je sors du lit avec embarras, encore plus embarrassé quand je vois que je suis en porte-jarretelles.

mercredi, janvier 24, 2007

Nuit du 23 au 24 janvier 2007

Cette nuit je débarque dans une épicerie sans slip ni pantalon.
Je suis venu chercher du papier journal pour emballer mes légumes.
L'épicière me file un magazine. Je le feuillette et c'est plein d'images de cul. Quelle coquine que je me dis.
Après l'épicière me nettoie un bout de coton que j'ai au bout de la bite.
Plus tard, sur la scène du théâtre je dis bonjour à un tas de jeunes actrices. Pour leur dire bonjour je mordille leur lèvre inférieure, la tire et la relâche comme un élastique. Regards émerveillés des adolescentes. Je suis aux anges.

jeudi, janvier 04, 2007

Nuit du 30 au 31 décembre 2006

Je suis dans le noir, dans un sac plastique noir.
Je sens qu'il y a des gens autour de moi. En fait ce sont mes morts, il y a Seb, mon grand père, les deux chiens de mes parents et d'autres morts. Quand ils touchent le sac (en le caressant) ça fait une lumière inouïe et je sens des ondes de plaisir me traverser, comme des orgasmes. Je suis baigné dans cette félicité, c'est la caresse des morts.

Je suis vers les Halles à Paris, je cherche deux putes pour me sucer. A un coin de rue je vis mon père assis à l'arrière d'une fourgonnette. Il me reproche d'aller aux putes plutôt que de l'aider dans son association pour les "coureurs de fond".

Je suis dans ma chambre d'enfant à la caserne Champerret. Je reconnais ça aux lits superposés. Il y a une fille très jeune sur le lit du haut avec Manuel P. Je fais une blague pédophile qui ne fait rire personne. Et puis je m'inquiète car je ne sais pas où son mes lunettes. Après un moment de réflexion je localise mes lunettes, je les voie en dehors du rêve, dans la réalité, posée sur une étagère. J'ai conscience de rêver, je suis serein parce que je sais que je retrouverai mes lunettes au réveil.

Je suis dans mon lit, je n'arrive pas à ouvrir les yeux. Quelqu'un met de la musique arabe très fort dans la pièce et commence à crier en arabe, j'appelle Lan car j'ai peur qu'on lui fasse du mal.