vendredi, septembre 22, 2006

Nuit du 21 au 22 septembre 2006

Cette nuit je suis tombé follement amoureux de Francesca, une fille de 14 ans toujours couchée, lovée, belle, nue, assoupie.

Un peu avant je suis sur une plage avec Félix. Il fait n'importe quoi et je le vois souiller un frigo avec du vomi.
Je vois aussi une journaliste de Radio Galère qui me questionne sur les canaux radiophoniques accordés à la police. Je lui réponds avec des coups de poings donnés dans les murs qu'il ne faut que des chaînes de radio culturelles et qu'ainsi la police disparaîtra.


Francesca.
Elle est sur moi allongée, puis glisse sur le coté, roulant sur le lit. Mais voila son pouvoir: elle se multiplie, je sens toujours son poids sur mon corps, et pourtant je caresse ses cheveux et son autre corps couché à mes cotés. Je lui fais part de ma découverte, elle sourit les yeux fermés.

Je n'ai jamais ressenti autant d'amour dans la réalité que pour Francesca dans ce rêve.
Le réveil fut délicat.
Effectué dans les larmes et le ressentiment.

jeudi, septembre 14, 2006

Nuit du 13 au 14 septembre 2006.


Je suis dans un sex-shop très populaire. Il y a des familles entières avec femmes et enfants.
Du coup j'ai l'air con avec mes lunettes de soleil pour passer incognito, alors je les enlève.
Je vois un père, avec une barbe Camif, tarder à choisir un film. Ca énerve sa fille de quatorze ans qui aimerait bien aller faire d'autres courses.
Dans les allées, entre les étagères de films, il y a une grande B.D de Frank Miller, un album de 1,90m par 60cm.

Plus tard je fais une peinture géante dans mon salon.
Ensuite, en me promenant dans les rues de Marseille en scooter, dans le quartier multi ethnique de Noailles, j'entend une femme en Burqa dire "Il y en a marre que Jojo bande" et quelques mètres plus loin je vois, sur le parvis d'une mosquée, un clochard hilare qui tient en laisse un chien énorme avec une bite turgescente.

lundi, septembre 11, 2006

Nuit du 10 au 11 septembre 2006

C’est le petit matin.
Je suis avec Rico sur une plage en Belgique et nous attendons que la cafétéria ouvre pour prendre une collation. On a du faire la fête avant, on n’est pas très frais.
Une femme blonde aux cheveux courts, d’une quarantaine d’année, pas très jolie, me fait remarquer que je n’aime pas être trop proche des gens et avoir des contacts physiques avec eux. J’acquiesce.

Juste après il y une énorme explosion. Je vois un grand champignon de flamme s’élever dans le ciel, à une vingtaine de kilomètres, en ville.
Bon c’est assez beau parce que c’est l’aube et les flammes se détachent très bien dans le ciel.
On est un peu embarrassé. Il doit y avoir des morts, c’est un attentat.
Et puis là je comprend que c’est une explosion atomique, la déflagration va nous vaporiser, il faut vite se mettre à l’abri.
Je conseil à Rico de me suivre dans la mer, qu’on se cache sous l’eau quand le souffle arrive sur nous.
Quand l’explosion arrive sur nous on s’immerge. Juste après on sort de l’eau et en s’essuyant il y a des plaques de peaux qui partent.
Là je dis adieu à Rico, je lui dit qu’il nous reste dix heures à vivre à tout casser. Je suis pas triste du tout, je m’exclame même « Quelle belle vie on a eu ».
J’essaye d’appeler Lan pour lui dire au revoir mais il n’y a pas de réseau.
Peu après je vois arriver ma sœur sur la plage, elle a pas l’air mal en point mais son chien Shogun est lui devenue tout maigre.
Pendant que Sophie m’explique que c’est pas un attentat mais un truc qu’on a acheté aux Chinois qu’a explosé parce que c’était de la mauvaise qualité, hé ben, il y a un raz de marée inversé (qui vient de la terre) qui nous pulvérise.

Un peu avant dans le rêve, je me rendais compte que Mike Patton avait fait la voix sur un peu plus de mille disques, dont beaucoup de truc de variétoche.

Nuit du 8 au 9 septembre 2006

Je suis à Zagreb. La scène est particulièrement réaliste. Je suis à l’arrière d’un véhicule militaire, avec deux soldats. Un sniper tue les soldats d’une balle en pleine tête pendant qu’on roule.

Ce qui me marque c’est le visage serein des soldats juste avant le claquement du coup de feu et leur visage qui éclate. Un des deux hommes tombe du camion mais un bout de son barda reste accroché et on traîne le cadavre au sol.

Après je vois des voitures de civils exploser sous des tirs de rocket.
Mais juste avant de me réveiller je vois qu’il y a des putes et ça me rend content.

Notes 2

C'est chiant de retrouver ça plusieurs jours après, plus aucun souvenir de rien. Juste les notes :
- Drogue (shit) sous mes fesses
- Commisariat, baston
- Poursuite voiture
- Clochard horrible
- Prêtre et sa mère

samedi, septembre 02, 2006

Nuit du 1er au 2 août 2006.

J'emprunte un manteau à ma soeur. Il y a plein de frelons vivants dans la poche de droite. J'écrase tout ce beau monde et j'en donne des poignées entières à Benoît B qui est là.

Plus tard je suis chez un huissier. Le bureau est neuf et sur une étagère il y a des projecteurs à découpe de chez Strand Lightning encore emballés. Sans doute un cadeau des entrepreneurs du bureau. Je demande à l'huissier si il peut pas nous les donner pour notre spectacle, vu que lui il n'en aura pas l'usage.

Dans un hangar je suis avec un gros roux qui est ingénieur en quelque chose. On lâche de l’anti-insecte sur des trains qui passent.

Notes.

A côté du lit, sur une feuille, je trouve ces quelques notes d'un rêve pas raconté :

- Zombies. Tazer. Fluide vert. (Là je me souviens maintenant que j'électrocute des zombis avec mon Tazer et qu'il se vident par tous les orifices d'un fluide vert fluo).

- Voisins flambés. (Aucune idée de ce que ça peut bien vouloir dire).

- Canapés, vaisseaux, agendas, etc... (Là je me souviens juste qu'on se ballade sur des canapés volants et que les agendas c'est des consoles DS).

vendredi, septembre 01, 2006

Nuit du 31 au 1er Août 2006

Cette nuit je vais rendre visite à mon ancien directeur technique à Paris : François C.
Mais d’abord j’ai décidé de m’introduire dans son théâtre par effraction.
Normalement le théâtre s'appelle "Théâtre des Athévains" mais ils ont changé le nom en "Le Mauriac". C'est plus classe. D'ailleurs le hall et les escaliers d'accès ainsi que l'ascenseur en fer forgé, tout est bien plus classe, en marbre.
Bon en fait, quand j’arrive, il y a plein de monde et c’est totalement inondé.
Je vois les comédiens en tenue de plongée. On a de l’eau jusqu’à la taille.
En fait c’est une première, une pièce de théâtre sous l’eau.
La critique est unanime.
Pour pouvoir tout remplir d'eau l'équipe technique a du boucher tous les lavabos et tous les chiottes.
C’est rigolo. La salle est totalement submergée. Tout le monde se prépare, avec les masques, les tubas et tout.
Au vestiaire on récupère les vêtements trempés et il y a un écriteau : "Les vêtements, hélas, n'ont qu'une vie".
C’est vraiment débile.