Nuit du 26 au 27 juin 2005
Une nuit très longue et très riche.
Je ne pourrai pas tout raconter ici. De plus, les gardiens veillent.
J'ai passé la nuit entière dans la Chine des rêves.
J'étais d'abord dans une ville gigantesque, aux avenues haussmanniennes et aux immeubles noircis, mais entièrement submergées.
Le manque d'activité dans la ville laissait penser qu'elle s'était vidée après l'inondation.
Je visite des immeubles tortueux, monte dans les étages par des conduits, des morceaux d'escaliers, des chambres minuscules.
Je suis dans un des immeubles ou se trouve les bureaux du Contrôle des Naissances.
Je livre un combat épique dans les étages supérieurs, abattant les gardes de l’Armée Rouge, détruisant les verrières, faisant une percée à travers le plafond et finissant sur le toit contre des croiseurs et des hélicoptères.
C'est vraiment très réaliste, effrayant, je frôle la mort plusieurs fois, et totalement divertissant.
Plus tard (je sais maintenant que je combat le terrible régime de Pion Yang) je parviens à rejoindre une région Européenne. Ce ne sont que quelques Docks reliés à une petite île artificielle, mais ça suffira pour ma protection.
Le dernier affrontement se fait avec Mao Zedong, déguisé pour l'occasion en Staline.
Je le poignarde d'une façon très fourbe sur le bord d'un quai avant de me jeter à l'eau.
Je n’ai tué qu’un sosie. L'accueil européen (De la Belle Epoque en plus) est glacial.
Je voie que les forces chinoises font entrer des marchandises express dans le petit protectorat. Les caisses sont pleines de soldats.
Je suis en jonque et je remonte deux bras de mer, déguisé en espion. Mon nom est Yeng.
Je rejoins un camp d'entraînement à moitié déserté et m'acharne sur un garde en lui défonçant le crâne sur les gonds d'une porte de toilettes. Je le glisse après dans un sac plastique avec un rat (de mes amis) et le jette dans le fleuve.
Au bout du fleuve le spectacle est magnifique. Je ne puis aller plus loin car je me ferai repérer par le poste frontière mais je voie le Fleuve Jaune continuer entre les montagnes, et sur celles cis, la Grande Muraille s'envole vers le ciel, parsemée de feux. Il fait nuit et je suis heureux de voir quelque chose d'aussi beau.
Un peu plus tôt j'ai rencontré Mike P dans un village au bord du fleuve. Nous discutions de la mise en place d'une comédie musicale sur le thème de l'espionnage en Chine.
L'élaboration rythmique est très complexe et les mesures sont divisées en deux. Pour pouvoir suivre le rythme de ces mesures, on utilise deux sphères d'un poids différent chacune (l'une blanche, l'autre noir) et on les lance à la suite, leurs rebonds indiquant les temps forts de la mesure.
Je ne pourrai pas tout raconter ici. De plus, les gardiens veillent.
J'ai passé la nuit entière dans la Chine des rêves.
J'étais d'abord dans une ville gigantesque, aux avenues haussmanniennes et aux immeubles noircis, mais entièrement submergées.
Le manque d'activité dans la ville laissait penser qu'elle s'était vidée après l'inondation.
Je visite des immeubles tortueux, monte dans les étages par des conduits, des morceaux d'escaliers, des chambres minuscules.
Je suis dans un des immeubles ou se trouve les bureaux du Contrôle des Naissances.
Je livre un combat épique dans les étages supérieurs, abattant les gardes de l’Armée Rouge, détruisant les verrières, faisant une percée à travers le plafond et finissant sur le toit contre des croiseurs et des hélicoptères.
C'est vraiment très réaliste, effrayant, je frôle la mort plusieurs fois, et totalement divertissant.
Plus tard (je sais maintenant que je combat le terrible régime de Pion Yang) je parviens à rejoindre une région Européenne. Ce ne sont que quelques Docks reliés à une petite île artificielle, mais ça suffira pour ma protection.
Le dernier affrontement se fait avec Mao Zedong, déguisé pour l'occasion en Staline.
Je le poignarde d'une façon très fourbe sur le bord d'un quai avant de me jeter à l'eau.
Je n’ai tué qu’un sosie. L'accueil européen (De la Belle Epoque en plus) est glacial.
Je voie que les forces chinoises font entrer des marchandises express dans le petit protectorat. Les caisses sont pleines de soldats.
Je suis en jonque et je remonte deux bras de mer, déguisé en espion. Mon nom est Yeng.
Je rejoins un camp d'entraînement à moitié déserté et m'acharne sur un garde en lui défonçant le crâne sur les gonds d'une porte de toilettes. Je le glisse après dans un sac plastique avec un rat (de mes amis) et le jette dans le fleuve.
Au bout du fleuve le spectacle est magnifique. Je ne puis aller plus loin car je me ferai repérer par le poste frontière mais je voie le Fleuve Jaune continuer entre les montagnes, et sur celles cis, la Grande Muraille s'envole vers le ciel, parsemée de feux. Il fait nuit et je suis heureux de voir quelque chose d'aussi beau.
Un peu plus tôt j'ai rencontré Mike P dans un village au bord du fleuve. Nous discutions de la mise en place d'une comédie musicale sur le thème de l'espionnage en Chine.
L'élaboration rythmique est très complexe et les mesures sont divisées en deux. Pour pouvoir suivre le rythme de ces mesures, on utilise deux sphères d'un poids différent chacune (l'une blanche, l'autre noir) et on les lance à la suite, leurs rebonds indiquant les temps forts de la mesure.