mercredi, août 01, 2007

Rêves de juillet.

- Sous opium, un rêve très tendre. Je suis sur une moto sans guidon et je parle avec Nadia D qui est en voiture.
Je sais qu'à chaque fois que je parle avec elle je suis en terrain miné, sa sensibilité à fleur de peau fait que je suis toujours sur le point de la décevoir.
Je vois une fille sur le trottoir et dit à Nadia que je passe des soirées à parler avec elle.
Nadia se sent trahie parce que je ne passe plus jamais de soirée à parler avec elle. Elle démarre la voiture et s'enfuit dans les rues. J'essaye en vain de la suivre, mais sans guidon...
Le temps qu'elle gare sa voiture j'ai un peu de temps devant moi, je vais chez elle.
Je me sens en totale harmonie avec elle, malgré nos heurts.
Je trouve son lit au deuxième étage de la maison, tout est calme et familier. Je me décide à sentir ses draps pour sentir l'odeur de sa chatte.
Sur le lit il y a une console de jeux et un film avec Jane Birkin. La télé est allumée sur de la friture.

- Une nuit d'angoisse et de peur intense, aucun moyen de savoir si je rêve ou pas, le lieu ne change jamais, je suis dans mon lit, dans la cabane, j'essaye de dormir. De temps en temps il me semble me réveiller en sursaut, en criant. Quelquefois je décide de combattre les démons à l'extérieur en étant encore plus maléfique qu'eux. Les chats sont des démons. Je suis paralysé par la peur. Dans un coin de la cabane Lan me prépare un breuvage, du Curahuasca (un Ayahuasca pour guérir, on me dit ça quand je demande) mais son visage est épouvantable.

- Je suis au supermarché, je suis venu acheter du fromage. Un type me dit qu'il a mis son rhume dans tous les fromages. Je me dirige alors vers les alcools. Je fais tomber une caisse de vin en équilibre avec mon sac à dos. Devant l'employé mécontent je me propose de payer la moitié des dégâts, arguant que le supermarché fait assez de bénéfices comme ça. Il propose 100 Francs français. Ca semble rien du tout, du coup l'atmosphère se détend et je lui dis qu'il me reste bien un Pascal à la maison. On rigole. On devient potes. Je suis invité à manger avec d'autres employés (en fait des étudiants) dans l'arrière cour du supermarché. Là ils récoltent eux mêmes leurs coquillages en raclant de grandes étendues de boue. La table est dressée dehors, au soleil. On échange des banalités sur la vie de couple.
Un peu plus tard le tour de France passe devant la maison. Lan se décide à dévaler la pente avec Marion J à la rencontre des coureurs, j'ai beau prévenir que c'est dangereux, elles s'élancent. Je cours après. Dans un tournant en pleine vitesse elle manque de se prendre les voitures qui ouvrent le cortège. Je prends le pouls de Lan pour constater qu'elle a eu très peur.

1 Comments:

Blogger eXXos said...

Oh la la, quel bazar !
J'aime bien l'épisode avec le fromage.

12:40 AM  

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