lundi, juillet 25, 2005

Nuit du 24 au 25 juillet 2005

Nous sommes 4 tout en haut d'une grande cheminée d'usine, à plusieurs kilomètres de hauteur.
Nous sommes équipés commandos, genre S.W.A.T, normal vu qu'on est là pour sniper la cheminée de l'usine d'en face. Je la vois, elle sort des nuages. L'air est rouge.
Un de nos gars se trouve derrière une sorte de meurtrière dans une autre salle de la cheminée. C'est tout petit, on est confiné, un peu à plat ventre.
Je m'approche de la meurtrière et je vois qu'il fabrique un truc louche. Il équipe un truc au bout d'une tige de métal et l'approche vers nous par la fente... C'est un traître, je lui tire dessus, je le touche à l'épaule et dans la jambe, c'est très réaliste, j'entends les douilles tomber au sol et les sons d'impacts sont parfaits. Il y a même l'odeur de poudre.

Plus tard, dans une fête un peu ringarde avec des gobelets en plastique et des tables en formica, j’apprends que le traître a tenté de nous inoculer le virus du rhume avec la poudre blanche qu'il avait mis au bout de la tige.

Je dois être un peu en vacances. J'emmène les chiens de ma mère (deux ou trois de races différentes) dans une famille juive du Souk.
C'est un peu un Souk de luxe, genre Milles et Une Nuit, tout en dorure et en draperie brodées, il y a des petits balcons de bois au dessus des ruelles, c'est une nuit d'été et les lampes donnent des reflets dorés à l'ensemble.
J'arrive à un embranchement et je vais me renseigner auprès d'une jeune fille qui promène un petit chien noir et or.
Je marche avec les jeunes filles (belles et souriantes) qui se multiplient à mesure que nous avançons sur le chemin, elles disent me connaître de HomosuperioR et je frime en leur racontant l'histoire du virus du rhume. J'adore leurs sourires bordel. C'est plus qu'excitant sexuellement, c'est vraiment le bonheur. Pur.

Réveille.

Rendors.

Un safari avec un barbu, il parviens une première fois à enfoncer son couteau dans la tête d'un rhinocéros (alors que nous roulons à vive allure) et pousse un cri de joie.
La deuxième fois il se fait arracher le bras (on voit les lambeaux de chairs comme les racines d'une plantes déterrées) et il pousse un cri de douleur.

Hé ben c'est le même cri, exactement pareil. Pas de différence, c'est ce que je me dis avant d'ouvrir les yeux.

Je suis content, je me souviens, je me lève d'un bond en arrachant la moustiquaire qui me tombe sur la tête.

vendredi, juillet 22, 2005

Nuits ratés.

Drogue ou pas je ne me souviens de rien en ce moment.
Juste des détails débiles. De quoi faire une phrase ou deux.
Je reviendrai.