jeudi, février 04, 2010

Nuit du 3 au 4 février 2010.

Un gros bordel.
Je suis avec Stelios dans un bâtiment gigantesque en Russie.
On est là pour combattre les démons du sous sol, à coup de prise massive d'Iboga.
Ça va pas chômer.
Mais bon finalement moi non parce que je préfère, finalement, me branler, parce qu'il faut bien, finalement.
Le bâtiment est un ensemble d'architecture gothique, néo classique et totalitaire. C'est vraiment très haut et très beau.
Même le sous sol au démon est vachement classe, avec des moulures et des blasons et des trucs.
Le couvercle ouvragé du puits aux démons sert aussi de signe pour les contenir. A un moment du rêve j'arrive pas à bien le fermer et je le casse et je me barre vite sans rien dire à personne avant que les démons se barrent partout et foutent la merde.
Bon avant ça donc je me branle. Et pas qu'un peu, parce qu'il se trouve que l'Iboga me donne très envie de branler la bite.
Je me branle dans ma petite chambre mansardé, tout en haut.
Personne va me déranger je pense.
Les films qu'ont trouve ici sont incroyable, de jeunes russes en lingerie acidulé débarquent à cinq ou six pour s'occuper d'un mec.
Il y a aussi des trucs scato et uro, d'ailleurs je vois un reportage sur les familles de ses filles qui découvrent les pornos. On voit des petites soeur pleurer parce qu'on fait caca sur le visage de la grande.
Bon je suis pas vraiment à l'aise.
De temps en temps je descend filer des coups de lattes au démon, mais je préfère définitivement me branler.
Et puis des moments j'ai peur que tout le monde entende, ^parce que je m'emberlificote dans les câbles du casque et ça débranche le son qui sort à fond et merde.
Et puis ça capte pas plus que mes couilles. On comprends rien, ça saute.
Je me décide à voir ce qui se passe en bas et je croise Stelios qui repart au combat. Il est en chaise roulante. Il a du prendre une branlée la dernière fois parce que j'étais pas là. Je le salue de la tête et je m'esquive. Direction branlette.
Je vais essayer d'améliorer le système, la télé est encastrée dans le toit. Je me retrouve dehors, à plusieurs centaines de mètre du sol, sur un parapet, à essayer de faire marcher le machin. Mais voilà Olivier C, mon ami et banquier, qui débarque et qui veut enlever toute l'installation. Moi je suis dehors, je crie je pleure j'ai froid il pleut.