jeudi, janvier 31, 2008

Nuit du 30 au 31 janvier 2008

Au début de la nuit je suis dans le premier film de Harry Potter, dans l'école. Le seul sort que je sais lancer, à part le fait d'être invisible, c'est un sort de pet.

Je passe tout le reste de la nuit aux côtés d'Anaïs C qui me demande de lui faire un enfant. En même temps je la suis en tournée. On s'engueule plusieurs fois. Je lui explique que c'est normal qu'il y ait des heurts, mais que de toutes les manières c'est la violence qui l'emportera, comme pour toutes civilisations, et que mon corps est plus violent que le sien.
Je lui raconte ça dans un train où l'encombrement des compartiments donne l'impression d'être bloqué sur place.
Plus tard nous sommes dans sa propriété, aux abords d'une autoroute à huit voies. En regardant les voisins emménager et installer leur décor intérieur, elle dit "Tu vois, ils changent mais ils remettent toujours la même chose". Alors j'essaye de faire une blague (qui ne la fera pas rire) en disant "nous aussi on change de meuf et on remet toujours les même coups de bite".

C'est vraiment un rêve bizarre, je me souviens d'un tas d'autres moments et discussions, inscriptions sur les flyers, déroulés du spectacle, accident sur l'autoroute (normal, on fait pas du vélo sur l'autoroute). Mais il n'y a vraiment rien d'intéressant à raconter.

mardi, janvier 29, 2008

Nuit du 27 au 28 janvier 2008

Cauchemars sur cauchemars.
Je me réveille dans le lit à côté de Lan. J'entends les voisins parler. Je me sens extrêmement mal à l'aise, la chambre sens le pet.
L'interrupteur ne fonctionne pas. Je comprend en regardant par la fenêtre que tout le voisinage est privé d’électricité, les voix s’amplifient, je me retourne, apeuré et je vois au bout du couloir la porte du salon entrouverte. Un petit pantin debout sur une table fait des courbettes. Je ne vois que ses yeux mais je l’imagine, terrifiant. Je suis vraiment pris d’une peur panique, je retourne dans la chambre et me blottis dans le lit, je demande à Lan si c’est bien elle. Elle me dis « oui » et son double sort de dessous le lit et dis « tu veux parler de laquelle ? » et là je croit que je fuis sous les coups des deux Lan.

Lan me réveille en me caressant. Elle me dit que je respirai très fort et que gémissais en faisant « Ouhhh ouhhh » et en bougeant beaucoup et aussi que j’avais les poils hérissés sur tout le corps. Ca faisait longtemps que je n’avais pas fait un vrai cauchemar.

Je me rendors.
Je suis à nouveau dans le lit. Mais je doute encore, je suis à nouveau très inquiété. Je demande à Lan si c’est bien elle. Mais la silhouette dans le lit me répond de dos. C’est Sophie, ma sœur, qui me répond, en essayant d’imiter le chinois. Je cri. Je me réveille à nouveau.

Bon sang. Deux cauchemars dans une nuit. Incroyable.

Lorsque je me rendors je me retrouve à nouveau dans le lit, dans l’appartement, et je dois suivre Lan qui veut me montrer quelques chose dans la cave. Et je la suis dans ce piège atroce. La cave est pleine d’effroi et quand je passe une porte je meurs de milles souffrances.

Je suis réveillé. Ca fait trois. Bordel.

Je mets un peu de temps avant de me rendormir cette fois ci.
Le lit, à nouveau. Lan est contre moi. Je lui pose la question « C’est bien toi ? » Mais je l’entends qui me réponds dans un chinois de pacotille et ses yeux sont de braises. Pour échapper à ce démon je saute par la fenêtre, j’espère en m’écrasant me réveiller. Presque. Je subis une paralysie du sommeil qui semble durer des minutes. Le choc sur le sol me fait hurler, j’ai l’impression de passer plusieurs couches de sommeil, de déchirer à chaque fois un voile de réalités différentes. En fin de compte je lâche un grand cri et je reconnais de suite la réalité la plus commune. Je réveille Lan par mon cri et elle tente de me rassurer.

Bon là ça m’inquiète de me rendormir.
Mais la fin de la nuit est beaucoup plus agréable. Je me retrouve avec Seb H qui donne cours à un tas d’enfants dans une cour d’école. Nous décidons de monter voir Notre Dame de la Garde avec le petit train à touriste. Avant ça nous buvons une bière appelée « Le Tunnel ».
Seb n’a pas acheté de ticket pour le petit train. Il se fait attraper par les contrôleurs et moi je trouve une autre brasserie où on sert la bière au cubitainer et où elle est beaucoup plus sucrée.

vendredi, janvier 11, 2008

Nuit du 10 au 11 janvier 2008.

La maison dans laquelle je me trouve se situe en Belgique, à l'orée d'un bois. Il y a des enfants avec moi, des enfants aux visages d'adultes et une femme à l'étage.
Et là les loups sortent du bois et tournent comme des requins autour de la maison, les enfants crient et l'un d'eux me passe un fusil à canon scié et je sais pas comment on charge et la tête d'un énorme loup passe par la portière du chat et je tire et ça fait clic.
Et ça me réveille.

Un peu plus tard je suis poursuivi par un homme dans un long couloir bétonné mais quand je m'aperçois qu'il me menace avec une cuillère de cassoulet et bien je rentre dans son jeu et je fais un peu semblant d'avoir peur. La porte au bout du couloir ouvre sur un terrain de sable gigantesque mais je parviens tout de même, au milieu de cette immensité, à gêner les participants d'une partie de pétanque. Juste là où y faut pas quoi. Les pieds dans le cochonnet.

mardi, janvier 08, 2008

Nuit du 7 au 8 janvier 2008.

Assez flou, très étrange, beaucoup d'oublis.

Je suis dans une grande maison, un hôtel particulier appartenant aux soeurs Avram. Thomas G est avec moi ainsi que son ami Nico et un tas d'autres gens, des punks à chiens surtout.
Thomas possède des punaises de couleurs différentes qu'il lance sur les gens. Les couleurs correspondent à des états d'esprits.
Je met un coup de coude entre les omoplates d'un gars qui me plait pas beaucoup et là Thomas menace de m'envoyer une punaise de couleur bleu ("Bonne humeur").
Je lui dis "Si tu fait ça je t'envoie mon poing dans la gueule". Alors il se protège avec une garde haute. J'en profite pour lui envoyer un coup de pied dans le ventre... Et dans le mur encore une fois. Je suis réveillé.

Plus tard je décapite un type avec l'aide d'une autre personne. Mais avec un canif (le même vu hier soir dans le film "Shotgun Stories"). C'est très long et ça fait beaucoup de bruit.