mercredi, novembre 30, 2005

Nuit du 29 au 30 novembre 2005.

Cette nuit je vois Lan L flirter avec un de ces mimes qui font les statues à la con dans la rue.
C'est un beau jeune homme brun au torse imberbe et au visage blanc de maquillage. Un air de Pierrot lunaire de mes couilles.
Plus tard je marche avec Lan dans la rue et je le vois qui nous suis. Devant un distributeur de billets, Lan est assise par terre et lui se baisse et lui touche l'intérieur de la cuisse juste au dessus du genou.
"Ne pose plus jamais ta main sur elle, c'est compris" c'est ça que je lui dis. Je lui défonce le visage, le torse, tout son corps, je le compacte dans le distributeur, mes poings sont en sang tellement j'ai frappé, il n'a plus de visage et pleure.

Dans la nuit je me rends à une réception, une garden-party. Il y a un tas de gens que je connais.
Dans le jardin il y a un représentant du protocole de Kyoto qui est tenu en joue par Georges Bush (et son chapeau texan) avec un fusil à double canon. Celui ci refuse catégoriquement de lui parler.
Rêve un peu nul.

samedi, novembre 26, 2005

Une nuit de novembre 2005

Cette nuit je vais voir ma mère à l'hôpital.
En me promenant dans le parc je trouve sous un arbre tortueux les traces et les reliques d'une ancienne civilisation particulièrement "Evil".
Je me vois peu après dans les couloirs de l'hôpital me transformer de façon très violente en une sorte de personnage démoniaque avec sur le torse un embryon de femme jaunâtre avec des moignons à la place des bras et une poitrine phénoménale. Elle est comme une excroissance sur mon ventre.

Plus tard je suis dans une des chambres de l'hôpital, discutant avec mon ami Roger R.
Je me dis "y a un truc qui cloche".
Il est en pyjama.
J'ai le temps de comprendre qu'il est interné ici.
Il me dit "regarde", et se met à uriner le long d'une de ses jambes dans le pantalon. Toute l'urine est récoltée dans un gobelet qui lui sert de pied.
Il lève la jambe vers moi et tandis que je tente de m'enfuir je sens toute la pisse chaude exploser dans mes cheveux.
Combat de pisse.
Je me réveille.

mardi, novembre 08, 2005

Nuits de début novembre 2005

- Je suis à la poursuite d'un anus géant de couleur jaune. Il flotte dans l'air, parallèlement au sol.
En plein milieu d'une plaine je le vois chier un étron appelé Jean Luc Martinez.
La nuit l'anus devient jaune fluo et il se déplace comme une chenille géante dans les bois.

Plus tard je rachète une vielle voiture à un garagiste. La voiture est au milieu du salon et nous l'examinons points par points.
Ensuite je prends un bain devant le garagiste et je fais gaffe à ce qu'il ne me reluque pas trop.

- WARZAWIZ, c'est le nom d'une société dans un ensemble de bureau. Le nom est inscrit à l'envers sur le fronton des bâtiments (assez modernes). Je travaille pour cette société, je fais un enregistrement avec Rico D mais la session est interrompue par l'arrivée de rappeurs. On fait un peu tous les racailles, c'est rigolo. Il y a des filles, des russes superbes. Je baise avec une d'entre elles et c'est un vrai bonheur.
Un peu plus tard je remarque que la lumière des toilettes ne fonctionne plus. Je vérifie les autres lumières et ça ne marche pas non plus, je trouve ça bizarre et je pense être dans un rêve. Dehors le ciel est rouge sang ce qui confirme mon impression.
Dans la cour je comprends que la société Warzawiz est une sorte d'agence d'événementielle magique. Ils créent des personnages et les font intervenir avec la magie. Là ils font une répétition avec un faux président des Etats Unis et un homme avec un coup de girafe.
Je monte à la cantine d'entreprise, tous les employés doivent faire une petite danse avant le repas. Une des étapes de la danse est une improvisation un peu folle. Au moment où je fais cette improvisation un gros la faisant en même temps que moi essaye de me faire un massage avec son corps entier mais il me brise les vertèbres. Ca me réveille.

- Alors celui là était excellent :
Je suis en vacances dans un village en guerre avec la plupart de mes amis de la réalité. Sont présents :
Nadia D, Rico D, Sophie V ma soeur et Lan L ainsi que d'autres amis flous.
Tout le village discute du moment ou nous allons devoir fuir. Le paysage est montagneux et la nuit on peut voir les lueurs rouges des feux autour de nous. L'ennemi approche.
Tout d'un coup un vent de panique souffle sur le village et des gens s'écrient "ils arrivent, ils arrivent...".
Nous fuyons le plus rapidement possible en descendant de l'autre côté de la vallée. Je prends une poubelle jaune comme véhicule et force Lan à courir à mes cotés, nous sommes emportés par la vitesse de la poubelle et pour freiner notre course je frappe Lan aux jambes.
Un peu plus tard j'apprends qu'elle ne voulait pas fuir parce qu'on devait la conduire en bus chez un certain Robie. Quand elle me dit ça elle est devenu assez grosse.

Nous sommes dans un deuxième village en contrebas, sur une plage. L'horizon est rouge sang, des gens vont et viennent comme dans un exode.
Je suis dans un bâtiment de douche avec Lan et nous entendons une nouvelle alerte, en regardant sous un mur je vois quelqu'un arriver en courant, je me baisse et je vois le visage de Nadia apparaître, il rencontre celui de Lan et elles s'embrassent. Nadia me regarde d'un air entendu. Je suis tellement émue que ça me réveille.

Je veux pas m'arrêter là, je me rendors.

Je suis à nouveau dans le village sur la plage. Je dis à Lan qu'on a bien fait de fuir car "c'est bien de voir tout ça avant de mourir".
Peu après l'attaque commence et c'est là que je découvre mes pouvoirs.
Nous voyons des petites formes noires dans le ciel qui lâchent des bombes. Ces bombes sont magnétiques et soniques, l'air devient électrique, nous essayons de fuir. J'entends mon nom clamé par les formes noires et je vois une tapette géante de toutes les couleurs se précipiter vers moi. Je me planque sous un gros rocher. Je vois une des formes noires faire une mauvaise manœuvre et s'écraser contre une caisse en bois. Je l'attrape, ce n’est pas très grand, on dirait des petits diablotins faits avec du charbon et du fil de fer. Je me tourne vers le ciel et je fais exploser tous les diablotins restant.
Un peu plus tard j'ai un certain 13 au téléphone, une sorte de chef de réseau de la rébellion, il me demande de repartir dans l'autre sens et d'utiliser mes pouvoirs. Dans la conversation je lui demande si je suis en train de rêver. Il ne répond pas. J'insiste et je me rends compte que je me parle à moi même. C'est ma voix mais dans la réalité (j'imagine que je parle en dormant). Je me dis à moi même "mieux vaut ne pas le savoir, alors non".
Nous finissons la conversation sur la découverte que les diablotins sont en fait les âmes des bébés pas encore nés. C'est la pré-vie.

Nous repartons vers la ligne de front. Il y a Sophie/Lan (c'est assez flou) et une famille rescapée.
La femme de la famille me dit qu'elle a deux motos pour aller plus vite.
Elles sont sur une remorque. Je commence à détacher une grosse moto rose (un peu la moto Barbie) quand une colonne de rescapés arrive dans le village. Ils se dirigent vers le baraquement ou se repose Sophie/Lan. Je comprends que c'est un piège et d'un signe et dans un fracas assourdissant je les fais tous exploser. Leurs âmes comme des petites bulles grises s'envolent et l'auteur de l'attaque surprise signe son acte dans le ciel : « BJORNE » écrit en volute dans la fumée.
La fille blonde de la famille en fait voir à ces parents après l'attaque. Je lui dis "ta gueule petite salope".
Je me sens fort.

Je me réveille. Je raconte tout ça à Lan dans son intégralité. Tout est extrêmement clair et précis. Je peux dessiner les lieux, répéter les conversations.
Cool.