vendredi, février 01, 2008

Nuit du 31 janvier au 1er février 2008.

Au début de la nuit, ma soeur Sophie nous présente un petit spectacle se nommant "Les Emballés". Une dizaine d'enfants (filles et garçons) entrent nus dans la pièce, le bassin en avant pour exposer leurs petits appareils génitaux et frotter dessus des côtelettes de porc crues. Après ça, les enfants croquent dans le morceau imbibé de jus de la côtelette.
L'atmosphère est dérangeante. Sophie demande à une fillette de refrotter le bout de viande contre son bout de chatte et de goûter à nouveau car elle n'a pas aimé le goût la première fois, puis rajoute "Tu t'y habitueras en grandissant".
Peu après j'ai une engueulade avec des voisins qui finit à coup de machettes (pour ma gueule).
Ensuite j'ai l'impression d'être chez moi, dans un endroit très familier, avec Laurent S qui me parle des "quatre zombies" et demande pour dormir. Au réveil je me souvenais parfaitement de ce qu'étaient les "quatre zombies" mais là je n'en ai plus aucune idée... Maudits gardiens.
Un peu plus tard je traverse un parking recouvert de homards et de scolopendres écrasés. Il me semble être assez effrayé à ce moment là. A l'extérieur je retrouve Sophie qui me demande de bien vouloir garer sa voiture. Mais je refuse. Je suis pressé. Je viens pour me tuer. Et de derrière la voiture surgit moi même avec une tête des mauvais jour et un flingue et je m'abat. Ca me réveille.
Encore un peu plus tard je suis avec une équipe de police, dans mon théâtre, planqués au balcon. Nous attendons là pour faire un constat. Une classe de sixième arrive et envahie le plateau pour un cours de théâtre et nous ne pouvons que constater qu'il y a bien viols sur mineurs parce que la prof se fait tous les élèves les uns après les autres.
La nuit n'est pas finie, je suis dans le petit jardin d'une petite maison et Sophie est sur un canapé dehors, adossé au mur de la maison et elle désire dormir à tout prix. Elle me demande des couvertures.
D'abord je vais pisser dans le jardin.
Et lorsque je vais commencer à pisser il y a une grande lumière blanche sur moi, comme une lumière de poursuite. Je suis pris de peur, je rentre à l'intérieur de la maison, passe dans la pièce de derrière et trouve un magazine sur une table. Je cherche à me changer les idées. Sur la couverture du magazine je lis le titre suivant : "Si vous avez des enfants, des peines et des soucis" et en dessous l'illustration représente une femmes à quatre patte en collant noir, les cuisses écartées, avec une indication "Grattez ici" et une flèche montrant l'entrejambe. Le fond de l'illustration montre un visage joviale portant la barbichette. A ce moment précis je suis pris d'une peur panique et je me vois arriver à nouveau avec un flingue pour me tuer. Mais je me rate. Du coup je me poursuis et mon double s'enfuit effrayé à son tour et disparaît à travers le mur. Je me réveille glacé de peur, les poils du dos hérissés.
Je ne raconte pas le concert désastreux que je fais à la fin de la nuit avec Etienne J et un ukulélé.
Le groupe suivant monte sur scène, s'installe et joue avant que nous ayons fini notre propre concert.