Un rêve de juillet.
D'après mes notes retrouvées :
Je mange dans un restaurant gastronomique à Marseille.
Du sabot de cheval.
Quand je perfore la croûte du sabot avec mes couverts il s’en épanche un liquide jaunâtre pas très appétissant. Mais il fait bon. Je suis seul dans le restaurant, près de l’âtre. Au dessus de la cheminée il y a une bouche de gargouille qui avale des pénitents.
La cuisinière est noire.
J’appelle Alexandre L parce que je me souviens qu’il m’a appelé dans la vie réel ce matin même. Je sais que je rêve maintenant.
Roger R me rejoint à table puis nous partons en moto.
Plus tard je me promène dans les rues avec mon père, je lui fais remarquer que nous sommes dans un rêve et je le note dans mon agenda pour m’en souvenir.
Du sabot de cheval.
Quand je perfore la croûte du sabot avec mes couverts il s’en épanche un liquide jaunâtre pas très appétissant. Mais il fait bon. Je suis seul dans le restaurant, près de l’âtre. Au dessus de la cheminée il y a une bouche de gargouille qui avale des pénitents.
La cuisinière est noire.
J’appelle Alexandre L parce que je me souviens qu’il m’a appelé dans la vie réel ce matin même. Je sais que je rêve maintenant.
Roger R me rejoint à table puis nous partons en moto.
Plus tard je me promène dans les rues avec mon père, je lui fais remarquer que nous sommes dans un rêve et je le note dans mon agenda pour m’en souvenir.
2 Comments:
La vie réelle? Mais c'est quoi à la fin?
T'as jamais essayé d'appeler Alexandre L. depuis ton rêve, pour voir s'il décroche le téléphone en vrai ? On tiens un truc, là...
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