samedi, juillet 29, 2006

Nuit du 26 au 27 juillet.

Cette nuit je suis en bord de mer, dans une vielle maison de famille. Une grand mère un peu effrayante veille sur moi. L'endroit est plein de maléfices, plusieurs chambres sont interdites, j'y trouve des présences épouvantables, des amalgames organiques, mécaniques, des dentelles et des vieux plastiques jaunis, des abats jours en guise de crâne, un dentier fait la mâchoire.

Plus tard je suis dehors, je marche le long d'une palissade goudronnée, sur un petit parapet, de l'autre côté il y a un champ en jachère. Je trouve un peu de nourriture dans la trouée d'une planche.
Je met la nourriture en bouche et je découvre juste en dessous du parapet une vielle charogne couverte de grosse mouches noir mat.
Je m'enfuit effrayé par le cadavre, avec des relents dans la bouche, arrivé près de la maison un vieux barbu me montre du doigt en vociférant "tu voles la nourriture des morts !".
Je me réveille avec une grosse tache de salive sur l'oreiller.

Je me rendors.

J'essaye de fuir la maison, il y a une voiture, c'est une Mini Cooper, mais le vieux est déjà dans la voiture et on tient pas à deux là dedans.
Je m'enfuis avec quelques personnes dans des grottes, on y trouve l'entrée de l'Octogone, un vieux navire octogonal totalement rouillé et faisant plusieurs kilomètres de côtés.
Nous ouvrons les écoutilles pour faire sortir les morts du bateau.


Plus tard.
Je suis avec Sophie et sa fille dans un hôtel immense. Vers la porte de Champerret à Paris.
Pour venir là on s'est repéré avec une carte imaginaire.
Après un combat contre une sorte de bonhomme Michelin géant, Sophie l'envoi en orbite et ça fait comme une sorte de nouvelle lune dans le ciel. Mais le bonhomme a les deux mains serré près du sexe.
Nous jouons un peu avec les ascenseurs dans l'hôtel, puis un deuxième combat contre un éléphant (du style jumbo). Sophie l'envoi également en orbite et sa trompe va s'insérer exactement entre les deux mains serré du bonhomme Michelin.
C'est joli.
Les gens fuient comme si c'était la fin du monde, il y a surtout des roumains et des gitans qui partent dans le mauvais sens, et un tas de Clio bleue.

Encore cette même nuit, en croisière, j'ai un combat contre un méchant (que je soupçonne d'être moi même avec de la barbe). Il a une arme à feu et je n'ai rien, mais heureusement je rejoins l’entrepôt du bateau et là je trouve une multitude d'objets, tous les outils imaginables sur des présentoirs, des gilets de sauvetages, des nattes dans leur cellophane, des tentes, des filets, une coutellerie.

D'ailleurs ça se finit au couteau.