Nuit du 6 au 7 mars 2005
13h de sommeil c'est un tas de micro rêves incroyables.
Induish...Induish... C'est un mot très important. Je sais plus du tout pourquoi mais je sais que c'est comme une clef ou quelque chose.
Ensuite j'en ai vu se sucer la bite avec gourmandise, et je vais donner des noms :
Christophe R. et Michel R. sont allongés, très à l'aise sur le dos, à poil, la tête relevé par un léger coussin. En train de s'affairer sur leurs belles queues (notamment celle de Christophe, étonnement sculptée) se trouve les deux mignons Richard R. et Sebastien S., léchant tour à tour et de bas en haut les deux belles tiges de nos amis. Le tout éclairé de la meilleure façon par un soleil radieux qui s'engouffre par la grande fenêtre derrière mon dos. Je suis à un coin du lit. Je regarde tout ça comme si c'était normal.
Plus tard je fais un peu de luge dans une grande salle envahie par la neige. Avec Rico nous essayons une nouvelle voiture. Ce n'est qu'un tableau de bord en satin violet avec un clavier de piano dessus. Mais il me semble que ça roule bien, et vite !
A mesure que j'écris tout ça, le petit traître dans ma tête efface la fin de l'histoire. C'est normal.
Il faut faire attention à ne pas trop en dire sur le monde des rêves, et les gardiens veillent à ce que nous perdions la réalité de ces songes. Tout deviens flou et faux. Alors que tout était si vrai, si agréable à vivre.
J'ai encore eu droit à des chambres garnies de femmes se demandant comment me baiser ensemble de la meilleure façon possible et si je veux je peux étendre mon cou par la fenêtre pour voir de nombreuses autres courtisanes affluer vers l'immeuble où je me trouve.
Induish...Induish... C'est un mot très important. Je sais plus du tout pourquoi mais je sais que c'est comme une clef ou quelque chose.
Ensuite j'en ai vu se sucer la bite avec gourmandise, et je vais donner des noms :
Christophe R. et Michel R. sont allongés, très à l'aise sur le dos, à poil, la tête relevé par un léger coussin. En train de s'affairer sur leurs belles queues (notamment celle de Christophe, étonnement sculptée) se trouve les deux mignons Richard R. et Sebastien S., léchant tour à tour et de bas en haut les deux belles tiges de nos amis. Le tout éclairé de la meilleure façon par un soleil radieux qui s'engouffre par la grande fenêtre derrière mon dos. Je suis à un coin du lit. Je regarde tout ça comme si c'était normal.
Plus tard je fais un peu de luge dans une grande salle envahie par la neige. Avec Rico nous essayons une nouvelle voiture. Ce n'est qu'un tableau de bord en satin violet avec un clavier de piano dessus. Mais il me semble que ça roule bien, et vite !
A mesure que j'écris tout ça, le petit traître dans ma tête efface la fin de l'histoire. C'est normal.
Il faut faire attention à ne pas trop en dire sur le monde des rêves, et les gardiens veillent à ce que nous perdions la réalité de ces songes. Tout deviens flou et faux. Alors que tout était si vrai, si agréable à vivre.
J'ai encore eu droit à des chambres garnies de femmes se demandant comment me baiser ensemble de la meilleure façon possible et si je veux je peux étendre mon cou par la fenêtre pour voir de nombreuses autres courtisanes affluer vers l'immeuble où je me trouve.
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